Installation de Kali Linux sur VirtualBox

Kali Linux est la distribution Linux idéale lorsque l’on cherche à utiliser des outils liés à la sécurité informatique, notamment pour faire du pentest, car de nombreux outils sont intégrés. Dans cet article, nous allons voir comment de créer une machine virtuelle Kali Linux sur VirtualBox selon deux méthodes :

METHODE 1 : A partir d’une image ISO de celui-ci.

METHODE 2 : Télécharger un modèle de VM prêt à l’emploi directement sur le site de Kali et l’installer en quelques minutes grâce au modèle OVA.

Installation de Kali Linux sur Virtualbox

Premières configurations système

Premier contacts

Comment fonctionne un VPS

Avant de commencer l’installation et la configuration d’un VPS, il est important de comprendre son fonctionnement. Les fournisseurs utilisent des logiciels de virtualisation pour permettre aux utilisateurs d’accéder à une machine virtuelle utilisant les ressources d’un serveur physique. Notons que plusieurs machines virtuelles peuvent utiliser les ressources d’un seul et même serveur physique.

Néanmoins, chacune dispose d’un système d’exploitation qui lui est propre. Chaque VM profite également d’un accès à une partie de la mémoire vive, du stockage et de la puissance de calcul du serveur physique. Par contre, il est important de noter que les propriétaires des machines virtuelles ne peuvent pas accéder aux VPS des autres propriétaires utilisant le même serveur.

Les différents cas d’usage d’un serveur VPS

Différents cas de figure peuvent nécessiter l’usage d’un VPS. Nombreux sont ceux qui y ont recours pour jouer à des jeux en ligne comme Minecraft. En effet, cela permet de construire et d’isoler un monde entre amis et de jouer selon ses propres règles avec les serveurs de jeu privés. En plus des performances élevées, vous profiterez d’un graphique de qualité et d’un gameplay sans ralentissement. Certaines entreprises privilégient aussi l’utilisation d’un serveur virtuel pour l’hébergement d’une plateforme multisite WordPress. Ce dernier rationalise le processus de conception, de lancement et de gestion des sites par le biais d’outils polyvalents et de plug-ins dédiés.

L’hébergement d’une plateforme multisite WordPress sur VPS vous permet de profiter d’un équilibre parfait entre flexibilité et performances. Vous pourrez lancer des sites attractifs et évolutifs en fonction de vos besoins. Par ailleurs, le VPS est fortement conseillé pour l’hébergement d’un sandbox. Il s’agit d’un environnement conçu pour le développement et l’évaluation de nouveaux produits. Séparée du reste de l’infrastructure, cette plateforme vous offre une flexibilité totale et sans risque pour la mise en place de nouvelles solutions pour votre entreprise.

Comment fonctionne un VPS

OptionObservation
-eTeste si le fichier existe
-fTeste si le fichier existe et est de type normal
-dTeste si le fichier existe et est de type répertoire
-LTeste si le fichier existe et est de type lien symbolique
-cTeste si le fichier existe et est de type spécial mode caractère
-pTeste si le fichier existe et est de type tube
-STeste si le fichier existe et est de type socket
-tTeste si le fichier existe et est de type terminal
-gTeste si le fichier existe et est a un SGID positionné
-sTeste si le fichier existe et est non vide (taille > 0 octets)
Attention à bien encadrer le signe d’opération par une espace, vous obtiendrez un message d’erreur en cas d’oubli.
Dans le cas d’une multiplication, le caractère joker * est précédé par \ pour éviter une mauvaise interprétation.

remi ALL=(ALL) NOPASSWD:ALL
%sudo   ALL=(ALL:ALL) NOPASSWD:ALL
puis on sauvegarde(Ctrl+o)/quit(Ctrl+x)
# On termine en redémarrant le service sudo:
/etc/init.d/sudo restart

apt update, upgrade, dist-upgrade et full-upgrade : quelles sont les différences ? quel terme utiliser en fonction de se que l’on cherche à faire : Lire l’article suivant…
E t en prime un lien vers un article de l’hébergeur Contabo intitulé : « Debian et Ubuntu Upgrade »
Author Name

Une adresse IP qui identifie votre hôte sur le réseau où il est connecté.
La commande « ip address » ou « ip a » en raccourci, permet d’afficher les interfaces réseau avec les adresses IP associées.

La commande retourne l’interface « lo » qui correspond à l’interface de « loopback » (boucle locale), ainsi que l’interface « eth0 » correspondante à la carte réseau connectée à mon réseau local. On peut voir que l’adresse IP actuelle sur cette carte est « 38.242.201.85/20« .
Un masque de sous-réseau qui indique la partie de votre adresse qui caractérise le réseau local sur lequel votre hôte est connecté, et lui permet de déterminer, pour n’importe quelle adresse IP, si celle-ci fait ou non partie du réseau local
Une passerelle par défaut qui indique l’adresse IP à laquelle il faut transmettre les paquets IP destinés à des hôtes situés hors du réseau local, pour qu’ils soient routés vers le réseau local de leur destinataire.
Afin de connaître la passerelle par défaut utilisée actuellement par notre machine, plusieurs solutions sont possibles. La commande suivante retourne les routes locales, ainsi que la route par défaut, ce qui donne l’adresse IP de la passerelle.
ip route show
robert@vmi000000:~$ ip route show
default via 38.242.192.1 dev eth0 onlink
38.242.192.0/20 via 38.242.192.1 dev eth0
Dans mon cas, la passerelle est « 38.242.201.1 ».
Une ou plusieurs adresses de serveurs DNS auxquels le système ira demander les correspondances entre noms de domaine (www.webOdesign.net) et adresses IP (38.242.201.85).
Pour la trouver, il faut regarder le contenu du fichier « /etc/resolv.conf« 
robert@vmi000000:~$ sudo cat /etc/resolv.conf
Dynamic resolv.conf(5) file for glibc resolver(3) generated by resolvconf(8)
DO NOT EDIT THIS FILE BY HAND -- YOUR CHANGES WILL BE OVERWRITTEN
127.0.0.53 is the systemd-resolved stub resolver.
run "resolvectl status" to see details about the actual nameservers.
nameserver 161.97.189.51
nameserver 161.97.189.52
robert@vmi000000:~$ sudo cat /etc/resolv.conf
run "resolvectl status" see details about nameservers.
nameserver 161.97.189.51
nameserver 161.97.189.52

Installation de Kali Linux – Méthode 1

Télécharger le fichier iso de la distribution sur le site de Kali Linux :
https://www.kali.org/get-kali/
Choisir le type de solution « Bare Metal » correspondant à l’icône suivante.
Il existe quatre type de distributions (Installer, Weekly, Everything et NetInstaller) :
choisir le type « Installer ». Le type du fichier téléchargé est un .ISO, c’est-à-dire une image disque.

Exécuter VirtualBox. Dans la barre d’outil, cliquer sur l’iône « Nouvelle » pour créer une machine virtuelle.

Dans la boite de dialogue qui s’affiche, entrer les paramètres suivants :

  • Nom : KaliLinux-1
  • Dossier de la machine : choisir dossier de l’ordinateur dans une partition ou il y a au moins 10Gocde libre
  • Type : Linux
  • Version : Debian (64-bit)
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  • Nom : KaliLinux-1
  • Dossier de la machine : choisir dossier de l’ordinateur dans une partition ou il y a au moins 10Gocde libre
  • Type : Linux
  • Version : Debian (64-bit)
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