Premières configurations système
Premier contacts
Avant de commencer l’installation et la configuration d’un VPS, il est important de comprendre son fonctionnement. Les fournisseurs utilisent des logiciels de virtualisation pour permettre aux utilisateurs d’accéder à une machine virtuelle utilisant les ressources d’un serveur physique. Notons que plusieurs machines virtuelles peuvent utiliser les ressources d’un seul et même serveur physique.
Néanmoins, chacune dispose d’un système d’exploitation qui lui est propre. Chaque VM profite également d’un accès à une partie de la mémoire vive, du stockage et de la puissance de calcul du serveur physique. Par contre, il est important de noter que les propriétaires des machines virtuelles ne peuvent pas accéder aux VPS des autres propriétaires utilisant le même serveur.
Différents cas de figure peuvent nécessiter l’usage d’un VPS. Nombreux sont ceux qui y ont recours pour jouer à des jeux en ligne comme Minecraft. En effet, cela permet de construire et d’isoler un monde entre amis et de jouer selon ses propres règles avec les serveurs de jeu privés. En plus des performances élevées, vous profiterez d’un graphique de qualité et d’un gameplay sans ralentissement. Certaines entreprises privilégient aussi l’utilisation d’un serveur virtuel pour l’hébergement d’une plateforme multisite WordPress. Ce dernier rationalise le processus de conception, de lancement et de gestion des sites par le biais d’outils polyvalents et de plug-ins dédiés.
L’hébergement d’une plateforme multisite WordPress sur VPS vous permet de profiter d’un équilibre parfait entre flexibilité et performances. Vous pourrez lancer des sites attractifs et évolutifs en fonction de vos besoins. Par ailleurs, le VPS est fortement conseillé pour l’hébergement d’un sandbox. Il s’agit d’un environnement conçu pour le développement et l’évaluation de nouveaux produits. Séparée du reste de l’infrastructure, cette plateforme vous offre une flexibilité totale et sans risque pour la mise en place de nouvelles solutions pour votre entreprise.
Comment fonctionne un VPS
Option | Observation |
---|---|
-e | Teste si le fichier existe |
-f | Teste si le fichier existe et est de type normal |
-d | Teste si le fichier existe et est de type répertoire |
-L | Teste si le fichier existe et est de type lien symbolique |
-c | Teste si le fichier existe et est de type spécial mode caractère |
-p | Teste si le fichier existe et est de type tube |
-S | Teste si le fichier existe et est de type socket |
-t | Teste si le fichier existe et est de type terminal |
-g | Teste si le fichier existe et est a un SGID positionné |
-s | Teste si le fichier existe et est non vide (taille > 0 octets) |
Attention à bien encadrer le signe d’opération par une espace, vous obtiendrez un message d’erreur en cas d’oubli. Dans le cas d’une multiplication, le caractère joker * est précédé par \ pour éviter une mauvaise interprétation. |
remi ALL=(ALL) NOPASSWD:ALL
%sudo ALL=(ALL:ALL) NOPASSWD:ALL
puis on sauvegarde(Ctrl+o)/quit(Ctrl+x)
# On termine en redémarrant le service sudo:
/etc/init.d/sudo restart
apt update, upgrade, dist-upgrade et full-upgrade : quelles sont les différences ? quel terme utiliser en fonction de se que l’on cherche à faire : Lire l’article suivant…
E t en prime un lien vers un article de l’hébergeur Contabo intitulé : « Debian et Ubuntu Upgrade »
La commande « ip address » ou « ip a » en raccourci, permet d’afficher les interfaces réseau avec les adresses IP associées.
Afin de connaître la passerelle par défaut utilisée actuellement par notre machine, plusieurs solutions sont possibles. La commande suivante retourne les routes locales, ainsi que la route par défaut, ce qui donne l’adresse IP de la passerelle.
ip route show
default via 38.242.192.1 dev eth0 onlink
38.242.192.0/20 via 38.242.192.1 dev eth0
Pour la trouver, il faut regarder le contenu du fichier « /etc/resolv.conf«
robert@vmi000000:~$ sudo cat /etc/resolv.conf
Dynamic resolv.conf(5) file for glibc resolver(3) generated by resolvconf(8)
DO NOT EDIT THIS FILE BY HAND -- YOUR CHANGES WILL BE OVERWRITTEN
127.0.0.53 is the systemd-resolved stub resolver.
run "resolvectl status" to see details about the actual nameservers.
nameserver 161.97.189.51
nameserver 161.97.189.52
robert@vmi000000:~$ sudo cat /etc/resolv.conf
run "resolvectl status" see details about nameservers.
nameserver 161.97.189.51
nameserver 161.97.189.52
Installation de Kali Linux – Méthode 1
https://www.kali.org/get-kali/
Choisir le type de solution « Bare Metal » correspondant à l’icône suivante.
Il existe quatre type de distributions (Installer, Weekly, Everything et NetInstaller) :
choisir le type « Installer ». Le type du fichier téléchargé est un .ISO, c’est-à-dire une image disque.


Dans la boite de dialogue qui s’affiche, entrer les paramètres suivants :
- Nom : KaliLinux-1
- Dossier de la machine : choisir dossier de l’ordinateur dans une partition ou il y a au moins 10Gocde libre
- Type : Linux
- Version : Debian (64-bit)
- Cliquer sur « Suivant »

- Nom : KaliLinux-1
- Dossier de la machine : choisir dossier de l’ordinateur dans une partition ou il y a au moins 10Gocde libre
- Type : Linux
- Version : Debian (64-bit)
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